L’histoire derrière la boutique!

Je viens de loin, de très loin.
Je viens d’Ouzbékistan!

Mon histoire commence au pays du soleil où j’ai fondé une famille, où j’ai travaillé comme pédiatre

J’ai consacré ma vie privée et ma vie professionnelle à trouver des solutions pour obtenir le meilleur pour ma famille et pour moi-même. Je n’ai reculé devant aucun sacrifice pour atteindre mes objectifs.

Même s’il a fallu de nombreuses années pour y parvenir, j’ai changé ma destinée. Nous avons quitté notre pays natal. Nous avons dû repartir de zéro.  J’ai refait mes études en Belgique, à Liège.

Quelques années plus tard, je suis devenue directrice d’une maison de repos.

À 47 ans, quand mes deux merveilleux enfants se sont envolés de la maison, j’ai fait le bilan de ma vie. Je me suis posé cette question : qu’est-ce qui me fait avancer aujourd’hui ?

C’est ainsi que sans m’en rendre vraiment compte, le troisième volet de ma vie professionnelle s’est ouvert. Je nourrissais mon rêve en secret, je n’en parlais pas, mais je le préparais

Quand j’étais petite, en Ouzbékistan, il n’y avait pas de produits cosmétiques en vente.

A cette époque, l’industrie cosmétique ne s’était pas encore développée dans mon pays.

Je me souviens uniquement de petites parfumeries qui ne proposaient que des parfums et du maquillage. On n’utilisait pas de produits cosmétiques pour la peau, on recourait si nécessaire aux remèdes de grand-mère.

Dans chaque maison, il y avait toujours de l’Aloe Vera sur l’appui de fenêtre. Chaque maison possédait un jardin avec des arbres fruitiers et un petit potager.  À partir des produits offerts par la nature, nous fabriquions nous-mêmes des masques et des lotions pour le visage, pour les cheveux.

On colorait nos cheveux avec du henné, ce qui en même temps les nourrissait et les embellissait . On prenait soin de nos sourcils et nos cils grâce à l’huile de roquette.

Dans la salle de bain, toute la famille n’employait que deux produits : une imitation de savon de Marseille et un dentifrice en poudre au bicarbonate de soude et à la menthe. C’était basique et simple !

Au fil du temps, des gels, des sprays et des crèmes sont progressivement apparus sur le marché. Il s’agissait de produits de mauvaise qualité contenant de nombreux éléments chimiques nocifs.

C’est alors que je suis devenue pédiatre et que j’ai commencé à comprendre à quel point tous ces produits étaient dangereux. En effet, la peau, les cheveux, les sourcils et les cils constituent la barrière protectrice de notre corps.

Par conséquent, pour mon fils, j’ai continué à utiliser des produits simples et naturels.

 

Mon histoire continue quand nous sommes arrivés en Belgique, en 2000. Le marché des cosmétiques y était très diversifié.

Mais je ne le connaissais pas, je ne savais pas quels produits choisir. Nous utilisions des produits de supermarché et de grandes surfaces. Les produits plus naturels vendus en pharmacie nous revenaient trop cher.

Plus tard, mon mari a commencé à pratiquer l’artisanat. Il a appris à utiliser les produits naturels dans la construction. Pour la rénovation de notre maison, nous n’avons utilisé que des enduits à la chaux, à l’argile, et des pierres naturelles. Je pense que la maison doit respirer et ne pas s’étouffer sous une couche de peinture toxique.

En 2014, mon mari a été appelé chez un grossiste en huiles essentielles qui souhaitait réaliser des travaux de rénovation, en recourant aux enduits à la chaux. Tout devait être naturel chez lui aussi !

J’ai donc rencontré le patron de cette société, passionné par les huiles essentielles depuis 20 ans. Il est devenu notre ami. C’est à ce moment que l’idée de cosmétiques aux huiles essentielles m’est venue.

Leur senteur extraordinaire m’a ramenée à mon enfance et m’a procuré une telle sensation de fraîcheur et de pureté !

J’ai commencé à utiliser leurs produits cosmétiques bio et naturels. Je les admirais et de fait, je les suggérais à mes amis, mes proches. Mais les huiles essentielles ne convenaient pas à tout le monde. Mes proches et mes amis voulaient les mêmes cosmétiques, mais sans huiles essentielles.

J’ai alors décidé de créer ma propre boutique, qui proposerait une multitude de produits cosmétiques naturels. Ma décision était prise !

Mes connaissances médicales m’ont permis de comprendre facilement la composition des produits et d’orienter mon choix vers des produits plus purs, simples et naturels.

Quand je cherchais le nom de ma boutique… le mot clé était « huile essentielle ou végétale »… mais dans la composition ce n’est qu’une goutte. D’où le nom latin Stilla Oleum – goutte d’huile. Évidemment, il s’agit d’une goutte d’huile essentielle ou végétale !

C’est ainsi que j’ai créé une boutique de cosmétiques naturels aux huiles essentielles et végétales!

Au fur et à mesure, StillaOleum a offert un assortiment de plus en plus large.

Lors du premier Noël de ma boutique, en 2019, mes amies m’ont demandé si j’avais un coffret cadeau des produits que je vends. Elles voulaient en offrir à leurs proches. Mais StillaOleum ne proposait pas encore de coffrets cadeaux ou d’emballages cadeaux personnalisés.

C’est ainsi qu’a germé l’idée de créer un coffret cadeau personnalisé de la marque StillaOleum. En septembre 2020, j’ai donc créé ma StillaBox. J’ai préparé des box pour femmes, hommes et adolescents. J’ai ensuite ajouté des box par catégorie pour le visage, le corps, l’hygiène… ceci afin de faciliter le choix des produits.

 

Les cosmétiques naturels c’est un mode de vie sain et c’est mon histoire!

Donc, je développe aujourd’hui ma conscience saine et je veux partager cette conscience avec ceux qui m’entourent. Quand une femme change, le monde change !

 

Luiza Tashbaeva :     Créatrice de Stillaoleum

Laurence Cantineau :     Rédaction et communication

 

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